

Ô lâches ! Criez de vos poumons ardents !
De mauves silhouettes étreignent vos étoffes moisies ! Ô buveurs isolés que l'ivre Hiver refoule et soûl,
De mauves silhouettes étreignent vos étoffes moisies ! Ô buveurs isolés que l'ivre Hiver refoule et soûl,
Allez vous écumer ?
Les yeux pendus de néant infâme ?
Peignant sur vos entrailles honte et convulsion, des flancs morts d'une putain.
Soyez fous !
Votre lignée de torpeur ignoble se fend en superbes nausées !
Les yeux pendus de néant infâme ?
Peignant sur vos entrailles honte et convulsion, des flancs morts d'une putain.
Soyez fous !
Votre lignée de torpeur ignoble se fend en superbes nausées !
Ô pantins ! Nageant de puanteur et astre pression,
Relevez vous, la Liberté flagelle vos âmes !
Que de beauté en l'azur dévastateur...
Des murailles encerclent vos séjours, séjournent en vos salons,
Que de beauté en l'azur dévastateur...
Des murailles encerclent vos séjours, séjournent en vos salons,
Flambez ses pierres emprisonnées, gisez de Bataille !
Aux armes !
Écoutez la clameur des Maudits !
Sacrez la Haine des Forçats !
Aux armes !
Écoutez la clameur des Maudits !
Sacrez la Haine des Forçats !
Et maudit soit le fruit de vos entrailles, car illuminées de vermeille, vos prunelles noirâtres filtrent le venin noir d'une chienne battue !
Prête à crever, s'agite son bassin engendré !
Ses membres s'agacent, se broient en Aurore chétive, sa chaleur fécondée se crache d'haine et ombres baveuses...
Prête à crever, s'agite son bassin engendré !
Ses membres s'agacent, se broient en Aurore chétive, sa chaleur fécondée se crache d'haine et ombres baveuses...
Shoot by Anton Deneke with Zoé Mozart.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire