

Une nuit exaltée, tamisée d'ombres ambulantes, nous allions au hasard, singulièrement, rejetés au loin, tel des offrandes aux flots éternels.
L'amour en mythe pittoresque, nos doigts s'enlaçaient, faisant de leur désir, une chasteté funèbre.
Le ciel balafré, fusait en premiers hurlements nuptiaux, nos yeux brouillés du cri phosphorescent et dissout, erraient en complicité collective.
Ses cheveux sentaient le sucre, son ventre étourdit humait le sel et l'acide.
Son visage hâlé, fait de miel, de duvet et d'ambre, amplifiait ma névrose, étourdissait mes membres osseux. Sa bouche gourmande, s'engouffrait en mon cou béa. Fascinant que sa démarche ondulante, contrant les feuilles coléreuses d'un automne outragé.
Sa teinte opaline, éclairait ma prunelle de bonheur mitigé. Sa ligne d'échassier, harmonisait son charme et désinvolture, son naturel taciturne et indolent, faisant de lui un être tendre et distant.
Ses dires si pieux, embrumaient mon ancre ravagée d'éloquence, frisant l'érotisme déchaîné, tanguant mon aube intérieure.
Dénudant son avant corps, il me laissait admirer son étroite chute de rein, telle une invitation à l'omnipotence, m'interdisant un seuil fruité, une apogée frémissante.
Seul l'espoir vrillait en moi, la pluie acclamant mon optimiste glacé...
Nous nous en allâmes romanesques, hésitants à frauder l'amour de l'amitié.
L'amour en mythe pittoresque, nos doigts s'enlaçaient, faisant de leur désir, une chasteté funèbre.
Le ciel balafré, fusait en premiers hurlements nuptiaux, nos yeux brouillés du cri phosphorescent et dissout, erraient en complicité collective.
Ses cheveux sentaient le sucre, son ventre étourdit humait le sel et l'acide.
Son visage hâlé, fait de miel, de duvet et d'ambre, amplifiait ma névrose, étourdissait mes membres osseux. Sa bouche gourmande, s'engouffrait en mon cou béa. Fascinant que sa démarche ondulante, contrant les feuilles coléreuses d'un automne outragé.
Sa teinte opaline, éclairait ma prunelle de bonheur mitigé. Sa ligne d'échassier, harmonisait son charme et désinvolture, son naturel taciturne et indolent, faisant de lui un être tendre et distant.
Ses dires si pieux, embrumaient mon ancre ravagée d'éloquence, frisant l'érotisme déchaîné, tanguant mon aube intérieure.
Dénudant son avant corps, il me laissait admirer son étroite chute de rein, telle une invitation à l'omnipotence, m'interdisant un seuil fruité, une apogée frémissante.
Seul l'espoir vrillait en moi, la pluie acclamant mon optimiste glacé...
Nous nous en allâmes romanesques, hésitants à frauder l'amour de l'amitié.
Tableaux by Zoé Mozart.
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