Tremblante de quiétude, crevant en aliénée piégée, grisée d'azur, je me languissais en l'un de ces cafés tapageurs, lustrés de lueurs troubles, extasiée de tourmentes, je courbais sous le vent insolent, tandis que le peuple rebellé, s'étalait en crachats rubis, soufflant l'infini d'une révolution massée.
Quelques regards, ardents s'attendrissent sur ma silhouette, humaient le parfum absurde et dérisoire qu'est la liberté...
Les murs s'effacent pour ne plus exister, inhalant le vide soudain et noirâtre.
Des lueurs ressemblantes à des lys amers, détrônés, fuyant la révolution née, s'élancent en couleurs jaunâtres et violacés.
La pièce obscure, se transperce telle une allumette alléchée de flammes ardentes, faisant place à de sombres silhouettes, fourbes et anonymes...
Un immense trouble se fit, mon corps bellâtre se figeât en une odieuse scène d'éternité glacée...
Me réveillant son aura en tête, quelques liqueurs avenantes, en mon espace sanguin, mes yeux voilés d'humidité, se firent plus ternes, cherchant en vain l'effleurement passager, d'une augure à sa méprisante figure inhalée de rancunes passées...
Quelques regards, ardents s'attendrissent sur ma silhouette, humaient le parfum absurde et dérisoire qu'est la liberté...
Les murs s'effacent pour ne plus exister, inhalant le vide soudain et noirâtre.
Des lueurs ressemblantes à des lys amers, détrônés, fuyant la révolution née, s'élancent en couleurs jaunâtres et violacés.
La pièce obscure, se transperce telle une allumette alléchée de flammes ardentes, faisant place à de sombres silhouettes, fourbes et anonymes...
Un immense trouble se fit, mon corps bellâtre se figeât en une odieuse scène d'éternité glacée...
Me réveillant son aura en tête, quelques liqueurs avenantes, en mon espace sanguin, mes yeux voilés d'humidité, se firent plus ternes, cherchant en vain l'effleurement passager, d'une augure à sa méprisante figure inhalée de rancunes passées...
Shoot by Zoé Mozart.
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